la situation de la femme avant svp
Français
souhalove3
Question
la situation de la femme avant svp
2 Réponse
-
1. Réponse kamilou73
Dans la vie politique elles étaient exclues, pas de droit de vote,auparavant les femmes étaient dépendantes de leurs maris, elles ne pouvaient pas disposer de ses biens, ni travailler, ni étudier, et utiliser le salaire de leur mari avec au préalable leur autorisation, avant les femmes étaient considérées comme des mères de famille soumise.Elles étaient mises à l'écart d'une citoyenneté pleine et entière. Pas le droit à la contraception,(elles ne pouvaient pas disposer librement de leur corps) de divorcer. -
2. Réponse larapotter
Les femmes sont on général plus durement touchées que les hommes par les problèmes de développement
ET
La situation des femmes avant la guerre de 14/18 n’était guère enviable, le seul privilège de naître du genre féminin était sans doute de ne pas risquer de faire cette guerre. Dans les familles, la naissance des garçons était célébrée, l’arrivée de filles était source de déception. Les familles très nombreuses étaient le résultat de l’absence de contraception fiable. Après l’école primaire, les garçons allaient en apprentissage ou faisaient des études. Les filles faisaient le plus souvent l’école ménagère, l’important étant de former de bonnes épouses et maîtresses de maison. Une fois mariée, le rôle de l’épouse était de soigner son mari pour qu’il reste en bonne santé dans le but de pouvoir rapporter un salaire à la maison. C’est ainsi que la ménagère attribuait à son mari le plus gros morceau de viande lors des repas puis venait les garçons et ensuite les filles. Il ne restait à la maman que les miettes. (Lorsqu’il y en avait). Les familles très nombreuses étaient le résultat de l’absence de contraception fiable. Pas question d’étudier le latin, les maths ou les sciences. L’Eglise, jouait aussi un rôle déterminant dans la vie des femmes en la culpabilisant si elle n’assumait pas son devoir d’épouse et de mère.Bien entendu pas question d’avoir des loisirs considérés comme perte de temps. Le tricot, la broderie et le jardinage étaient la seule distraction «rentable». Les femmes surprises au café ou en train de fumer étaient qualifiées de «femme de mauvaise vie». N’ayant pas de revenus propres, la femme était entièrement dépendante. Si le mari buvait ou ne rendait pas sa paie, la misère s’installait au foyer.